L’auteur Madeleine Johnson a présenté sa dernière œuvre le 16 Février dernier à L’institut français de Yaoundé.
Dans son dernier chef-d’œuvre littéraire, l’éminent écrivaine Madeleine Johnson plonge profondément dans les racines et la richesse culturelle du peuple Banen, situé dans la région de l’ouest Cameroun. Son troisième ouvrage, magnifiquement ciselé, est une exploration riche en détails, capturant l’essence même de cette communauté dynamique.
En collaboration avec l’enseignant spécialisé à l’Université Catholique d’Afrique Centrale ( UCAC ), Olivier Iyebi Mandjeck, elle s’oppose à la standardisation identitaire. Positionnement qu’elle a su défendre le 16 février dernier à l’Institut français de Yaoundé.
« C’est un appel universel à la préservation de l’intégrité culturelle. Une invitation à préserver ce qui fait la richesse et la singularité de chaque peuple » , a martelé l’écrivaine.
C’est en présence de personnalités comme le Pr. Daniel Abwa et Blaise Jacques Nkene, secrétaire général du ministère des Arts et de la Culture, que l’ethnobotaniste à dépeint avec maestria l’histoire, les traditions, et les défis contemporains du peuple Banen.
Après “ Diversität une Nutzung de Flora bei den Banen in Kamerun ” en 2013 et “ Plantes et Rites sacrificiels chez les Banen du Cameroun ” en 2016, Madeleine Johnson publie des rapports authentiques, des témoignages et recherches approfondies afin d’assurer la continuité du legs historique.